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MICHEL HOUELLEBECQ:«En lisant Engels, il m’est venu cette idée bizarre, et même incongrue, que Nietzsche, s’il vivait aujourd’hui, serait peut-être le premier à souhaiter un renouveau du catholicisme. Alors qu’il a combattu avec acharnement le christianisme comme «religion des faibles», il se rendrait compte, aujourd’hui, que toute la force de l’Europe résidait dans cette «religion des faibles»; et que, sans elle, l’Europe est condamnée … »L’Occident est à bout de souffle, il est tard,